Les syndicats redoutent l'arrivée d'une cadre de Dassault à la tête de l'Institut national du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle

Article réservé aux abonnés

Par - Le 22 décembre 2005.

Les syndicats CGT, FSU et Sud de l'Institut national du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle (INTEFP) se sont inquiétés mercredi 21 décembre du projet de nomination comme présidente de Muriel Pénicaud, directrice générale adjointe chargée des ressources humaines au sein de Dassault Systèmes. « La désignation d'une personne occupant des fonctions dirigeantes, qui plus est comme chargée de la gestion du personnel, dans une entreprise privée », serait « extrêmement choquante et de nature à affecter la neutralité et la crédibilité de l'INTEFP », affirment les syndicats. Le ministère de l'Emploi, à qui revient la responsabilité de…

— Article réservé aux abonnés —