C'est avec peu d'enthousiasme que la CFE-CGC a accueilli l'annonce d'une nouvelle réforme de la formation professionnelle. Un accueil d'autant plus froid que neuf mois à peine se sont écoulés depuis la fin de la conférence sociale de juin 2012 à l'issue de laquelle Thierry Repentin, qui prenait alors ses fonctions de ministre délégué à la Formation professionnelle, s'était engagé à n'ouvrir aucun nouveau chantier en ce sens. « A l'époque, le sujet principal consistait moins en l'opportunité d'une nouvelle réforme qu'en la nécessité d'évaluer qualitativement les effets des précédentes » se souvient François Hommeril, secrétaire national de la Confédération des cadres,…
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des Fiches pratiques du droit de la formation —