Chaque année, les organismes de formation qui réalisent une activité de formation par apprentissage doivent remonter leur comptabilité analytique à France compétences. Ainsi, ils doivent effectuer cette déclaration au titre de l'année civile 2024 avant le 31 juillet 2025 sur la plateforme Karoussel. France compétences a publié sur son site internet un questions/réponses relatif aux modalités de déclaration : établissements concernés, conditions d'accès à la plateforme, règles comptables à appliquer, etc.

Questions/réponses relatives à la déclaration des données comptables et analytiques au titre de l'exercice 2024

Accès abonnés des fiches pratiques du droit de la formation : Fiche 13-6 Comptabilité d'un centre de formation d'apprentis

Données socio économiques


Population de la région 320 900

(estimations au 1er janvier 2024)

Population active 77 200 (en 2022)
Source : Insee
Demandeurs d'emploi 16 755

(2ème trimestre 2024)

Jeunes Demandeurs d'emploi 3 250

(2ème trimestre 2024)

Source : Insee
Principales activités économiques
1er secteur Administration publique (fonction publique territoriale, la fonction publique hospitalière et l'Éducation nationale)
2è secteur Société financière et non marchande

Carte de la Région

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Conseil départemental


Site internet :  http://www.cg976.fr/

 

Groupe majoritaire politique DVD
Président

Ben Issa OUSSÉNI

Vice Président chargé de de la formation  professionnelle et de l'éducation Daoud SAINDOU MALIDE
Coordonnées 8 rue de l'Hôpital

97600 Mamoudzou

Téléphone : 02 69 64 90 00

Commissions
Formation professionnelle, Education et Insertion
Président Daoud SAINDOU MALIDE
Commissions
Développement économique et Coopération régionale
Présidente Bibi Fatima CHANFI
Direction Formation et apprentissage
DGA Pôle Enseignement et formation Mohamed Elhadi SOUMAILA
Direction de la formation professionnelle
Directrice Nassanatia MAOULANA
Budget primitif 2024 716, 85 millions d'euros (source conseil départemental de Mayotte)

 

Programmation régionale
Contrat de projet Contrat de convergence et de transformation 2024-2027
CPRDFOP CPRDFOP Mayotte 2024-2027

 

Services de l'Etat


 

  • Préfecture
    François-Xavier BIEUVILLE
    Avenue de la Préfecture
    97600 Mamoudzou
    téléphone : 02 69 63 50 00
  • SGAR
    Maxime Ahrweiller Adousso
    , Secrétaire générale
    Avenue de la Préfecture
    97600 Mamoudzou
    téléphone : 02.69.63.50.00
  • Rectorat de l'académie
    Valérie DEBUCHY, rectrice
    (à compter du 12 juin 2025)
    Rue Sarahangué
    BP 7697 600 Mamoudzou
    Tél : 02 69 61 10 24
    courriel : vice-rectorat@ac-mayotte.fr
    http://www.ac-mayotte.fr/

Partenaires régionaux


Partenaires publics

Carif-Oref Carif-Oref Mayotte
Ceser Cesem de Mayotte

Données socio économiques


  • Population active : 150 600
    Source : Insee, 2020
  • Principales activités économiques en 2015
    • Commerce ; réparation d'automobiles et de motocycles : 12,6 %
    • Activités scientifiques et techniques ; services administratifs et de soutien : 9,4 %
    • Autres activités de services : 6,0 %
      Source : Insee 2017

Carte de la Région

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Conseil régional


Site internet : www.region-guadeloupe.fr

 

Groupe majoritaire politique Divers gauche
Président Ary CHALUS
Vice Président -
Adresse Conseil régional de Guadeloupe

Avenue Paul-Lacavé, Petit-Paris

97109 Basse-Terre

Téléphone : 05 90 80 40 40

 

Commission

Formation professionnelle, insertion, apprentissage
Présidente Jennifer LINON
Vice-président Jim LAPIN

Direction Formation et apprentissage

Direction générale adjointe de l'emploi et du développement humain
Directeur adjoint Sylviane SOPTA
Direction de la formation professionnelle de l'apprentissage, de l'emploi et de l'économie sociale et solidaire
Directrice Noella TALBOT-COPHY
Budget primitif 2025 7 M€ pour la formation professionnelle, l'apprentissage, l'emploi et l'insertion

Source : Conseil régional

Programmation régionale

Services de l‘Etat


  • Préfecture de région
    Xavier LEFORT,
    Préfet
    Palais d'Orléans, rue Antoine de Lardenoy
    97109 Basse-Terre Cedex
    Téléphone : 05 90 99 39 00
  • SGAR
    Régis ELBEZ
    , Secrétaire général
    Palais d'Orléans,
    rue Antoine de Lardenoy
    97109 Basse-Terre Cedex
    Téléphone : 05 90 99 39 00
  • DEETS
    Ludovic DE GAILLANDE
    , Directeur
    Bisdary, rue des archives
    97113 Courbeyre
    Téléphone : 05 90 80 50 50
  • Rectorat de l'académie
    Gabriele FIONI, Recteur (à compter  du 12 juin 2025)
    Site Grand-Camp, Boulevard de l'Union
    97164 Pointe-à-Pitre
    Téléphone : 05 90 47 81 00
    http://www.ac-guadeloupe.fr

Partenaires régionaux


Partenaires publics

Carif-Oref Guadeloupe formation
CESER Ceser Guadeloupe

Site web Grand public


Guadeloupe orientation

Dans un contexte d'instabilité permanente, la capacité d'apprendre, désapprendre et réapprendre devient une compétence organisationnelle vitale. Pour certains, l'entreprise ne peut plus simplement s'adapter, elle doit devenir apprenante pour survivre. S'agit-il d'un nouveau buzz word qui chasse le précédent ou d'une révolution qui va s'inscrire dans le temps ? Qu'est-ce que l'entreprise doit faire de cette apprenance ? Et surtout, de quoi s'agit-il au juste ? Des réponses avec Stéphane Diebold.

Lire l'article sur le site de l'Affen

Olivier Faron, responsable du pôle compétences, formation, jeunesse du Medef estimait, lors du congrès des développeurs de compétence organisé par Askalia et Centre Inffo mercredi 4 juin, que la réforme de 2018 a posé « un socle » mais doit désormais faire face à des défis : la situation des finances publiques et « la nécessité d'investir sur les compétences pour préparer le pays à répondre aux enjeux de souveraineté, de défense, de réindustrialisation ». Le représentant du Medef juge qu'au vu des contraintes financière, « il faut mettre en avant un objectif final à la formation », soit, pour lui, l'emploi. « Les compétences permettent aux entreprises de se développer », mais il note par exemple qu'il est difficile pour elles de se saisir du CPF par l'abondement. « Il y a une acculturation à faire qui est plus facile pour les grandes entreprises qui ont les ressources ».

Co-construction du CPF, « un leurre »

Jean-François Foucard, secrétaire national « parcours professionnels » de la CFE-CGC a rappelé que si les efforts financiers de la réforme se sont concentrés sur la formation initiale avec l'apprentissage, « c'était une volonté patronale et gouvernementale ». Ce « système ouvert » a entrainé « un déficit de 11 milliards d'euros à France Compétences ». Chef de file de la délégation CFE-CGC dans la négociation interprofessionnelle en cours sur les reconversions, il considère qu'il est désormais nécessaire d'engager davantage de financements sur la formation continue et la reconversion. Et concernant le CPF, le syndicaliste dénonce « un leurre » : « on parle de coconstruction mais si on cumule l'équivalent de 13 milliards d'euros de droits chaque année, on ne peut en consommer que 1,3 milliard ». Comment financer le dispositif si la coconstruction avec les entreprises amenait à un usage plus intense du CPF ? La question des transitions professionnelles « est très importante », confirme Olivier Faron qui remarque que les dispositifs existants sont « peu lisibles » et donc peu usités. Il plaide pour une simplification « afin d'en faire un outil pour l'emploi ». Jean-François Foucard redoute lui qu'un trop grand regroupement des dispositifs existants amène à « une baisse de l'enveloppe globale ».

Qualité de l'accompagnement des Opco

Carole Grandjean directrice générale des ressources humaines d'Etam et ancienne ministre déléguée chargée de l'enseignement et de la formation professionnels, relève également la difficulté, pour les entreprises, de naviguer parmi « les nombreux acteurs et outils » de la formation. Elle salue « l'accompagnement proposé par les Opco [opérateurs de compétences] », notamment dans le cas d'Etam pour mettre en place une VAE (validation des acquis de l'expérience) collective ou le FNE (Fonds national emploi) Formation. Mais les démarches « restent lourdes » et « un dispositif qui n'a pas trouvé sa place dans le quotidien des entreprises n'a pas de sens ».

Partenariat entre organismes de formation et entreprises

Claire Khecha, déléguée générale des Acteurs de la compétence, rappelle que « les organismes de formation sont des partenaires pour accompagner les entreprises ». Ils portent une « dynamique », en lien avec les Opco pour arriver « au développement des compétences des personnes, des entreprises, des territoires ». Et ils se transforment constamment, notamment « pour travailler avec des publics différenciés », ou réaliser des innovations pédagogiques qui ne se résument pas au digital. Pour elle aussi, la question de la reconversion est cruciale, surtout pour répondre aux enjeux démographiques. Or, si le CPF fonctionne « c'est parce qu'il est simple à utiliser » : « si cela pouvait être pareil pour le reste, plaide Claire Khecha. Il faut s'inspirer de ce qui est bien ».

« Formation, mentorat, accompagnement, un bon manager doit s'impliquer dans la montée en compétences de ses collaborateurs. En créant un environnement stimulant il motive ses équipes et favorise leur engagement à se former », pointe Pierre Monclos formateur RH (ressources humaines), IA (intelligence artificielle) et formation au sein du cabinet Unow, spécialisé dans la formation à distance. Selon le baromètre Unow réalisé pour le Printemps de la Formation (435 fonctions RH ou formation interrogées), cette implication managériale représente l'élément le plus important pour favoriser une stratégie d'engagement en formation des collaborateurs. Et pourtant, selon cette même étude, les managers sont, en la matière, avant tout dédiés à des tâches administratives. Si 53% d'entre eux recueillent les besoins (de formation) de leurs collaborateurs lors des entretiens annuels, ils ne sont que 18% à suivre de près l'implication des formateurs en formation et 15% seulement endossent le rôle de prescripteurs et de « sélectionneurs » de formations.

Conversations RH et temps RH

Vice-président « Apprentissage et Développement » au sein du groupe Renault, Patrick Benammar estime qu'il est nécessaire de dégager tout au long de l'année des « conversations RH » et des «temps RH » pour que managers et collaborateurs discutent de l'évaluation du besoin en formation de ces derniers. A la fois à l'occasion d'arrivée de nouveaux collaborateurs mais également lors de projets de transformation ou de réorganisation de l'organisation. « L'entretien annuel est trop formel et court pour parler de manière concrète des besoins en formation des salariés, pointe Patrick Benammar.  Chez Renault, nous prévoyons un rendez-vous supplémentaire dans l'année pour se focaliser sur les formations et les compétences ». Afin de retirer une charge de travail parfois conséquente à des managers débordés, il semble pertinent de permettre aux collaborateurs de se « plugger » directement sur les plateformes de formation des entreprises afin de s'autoformer en autonomie et monter en compétences, tout en informant les managers de ces actions de formation.

Personnalisation des actions de formation

« Avec l'IA nous allons assister à une personnalisation des actions de formation des salariés, mais il faudra toujours que le manager se retrouve dans la boucle afin qu'il l'intègre dans sa stratégie globale de montée en compétences de son équipe », confirme Julie Pirroni, manager grands comptes pour la société Speexx, spécialisée dans le coaching linguistique et professionnel en ligne. Afin, là aussi, de décharger le manager, le groupe Renaut a mis en place des dispositifs de collaborateurs volontaires baptisés « skippers » et « captains ». Ces experts se proposent de former leurs collègues, après avoir été préalablement formés par l'entreprise (formation de formateurs). « Nous avons formé ainsi 12 000 salariés en 9 mois à l'IA. C'est du gagnant-gagnant. Nos formateurs « occasionnels » utilisent les outils technologiques du groupe et se sentent valorisés ! », se réjouit Patrick Benammar.

Quel est le bilan de l'expérimentation « territoire zéro chômeur de longue durée » en matière de formation ? Le Cereq a analysé  les dispositifs de formations dans les entreprises à but d'emploi (EBE) et les parcours des personnes suivies dans une étude publiée en mars 2025. Les EBE, qui sont « des entreprises singulières dont les embauches et les activités sont orientées par les comités locaux pour l'emploi », « ont fréquemment mis en place des plans de développement des compétences et des entretiens professionnels », remarque le Cereq qui souligne qu'elles sont toutefois contraintes « par des ressources humaines réduites, des financements limités et les spécificités des salariés et / ou des territoires ».

Complexité

Le développement de la formation en EBE est rendu complexe « par des effectifs salariés en croissance forte et des activités productives variées et évolutives ». Dans ce cadre, sont priorisées les formations obligatoires, puis celles sur les compétences sociales et savoirs être en entreprise, et les formations en situation de travail.  Ces dernières sont réalisées par les encadrants et entre pairs par les salariés. Pour le financement, les EBE s'appuient notamment sur le PIC IAE (Plan d'investissement dans les compétences de l'insertion par l'activité économique) pour les formations obligatoires (hygiène et sécurité, gestes et postures). Les formations techniques restent, elles, « limitées en volume » même si des formations qualifiantes sont mises en place pour les salariés positionnés sur les fonctions support de l'entreprise.

Compétences spécifiques

Lors de l'entrée en EBE, « la prise de poste passe principalement par l'appui de l'encadrant », constate le Céreq. Mais, pour certains salariés, « des parcours de formation peuvent par la suite conduire à la reconversion professionnelle ou à l'acquisition de compétences spécifiques ».

Rapport à la formation différent selon l'âge

Parmi les salariés, le rapport à la formation diffère selon l'âge, l'expérience, la situation personnelle du salarié et la temporalité dans l'expérimentation. Ainsi, le rapport distant à la formation est plus fréquent « chez les salariés plus âgés, proches de la retraite ou ayant eu des carrières éprouvantes ». Les 35-54 ans sont plus souvent hésitants, « ne rejettent pas l'idée de formation » mais peuvent être limités par « un manque de confiance et des obstacles personnels (logement, garde d'enfants) ». Le rapport enthousiaste se retrouve chez les jeunes ou les salariés des fonctions supports, motivés par des ambitions professionnelles. « Ces derniers voient dans la formation un levier pour évoluer ou entreprendre des projets personnels ».

Encourager les salariés à se former

« L'encadrement joue un rôle crucial pour encourager les salariés à se former », ajoute le Cereq, qui relève aussi que « l'accompagnement socioprofessionnel joue un rôle clé en levant les obstacles administratifs, de logement ou de santé, facilitant ainsi l'insertion professionnelle ».

 

 

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Ce qui va faire l'actualité

L'actualisation des Fiches pratiques

Chapitres Fiches Contenu de la MAJ
Chapitre 4 : L'Etat et ses principaux opérateurs Fiche 4-1 : Représentation de l'Etat au niveau national Le décret n° 2025-457 du 23 mai 2025 précise le périmètre des missions du haut-commissaire à l'enseignement et à la formation professionnels et le rattache principalement au ministère chargé de l'Éducation nationale
Chapitre 6 : Concours des entreprises au financement de la formation et de l'apprentissage Fiche 6-11 : Solde destiné aux formations technologiques Trois arrêtés des 20 et 23 mai 2025 fixent notamment une nouvelle liste nationale d'établissements susceptibles de percevoir le solde de la taxe d'apprentissage, ainsi que le calendrier de la campagne 2025 de désignation des établissements bénéficiaires
Chapitre 13 : Création et fonctionnement d'un CFA Fiche 13-6 : Comptabilité d'un centre de formation d'apprentis France compétences a publié le 22 avril 2025 sa notice sur la déclaration des données comptables et analytiques pour l'exercice 2024 à destination des OFA
Chapitre 21 : Validation des acquis de l'expérience (VAE) Fiche 21-11 : Prise en charge des frais liés à la VAE France VAE ne gère pas le financement de l'accompagnement.
Annexes Présentation des 11 Opco et de leur champ d'intervention

 

Revues


Céreq bref
n° 471 - juin 2025
Mobilité internationale étudiante : un plus pour accéder aux postes de cadres ?


DARES analyses
n° 26 - mai 2025
Quelle place le permis B occupe-t-il au sein des formations financées via le compte personnel de formation ?


Savoirs
n° 68 - mai 2025
Digital, IA et formation. Synthèse de treize ans de recherche internationale


Publications Centre Inffo


Inffo formation
n° 1099 - 1er-14 juin 2025
Europass : 20 ans au service des compétences des citoyens européens


Autres publications


Comment sécuriser les parcours professionnels des actifs en renforçant l'accompagnement social et la formation professionnelle ? Cycle de #Rencontres DGEFP-Céreq
Valérie Gosseaume ; Agnès Checcaglini ; Ekaterina Melnik-Olive
Céreq, mai 2025. - 14 p.


Pour en savoir plus, consultez le Portail documentaire de Centre Inffo

Proposé par le Greta-CFA Est-Bretagne, ce chantier-école a été lancée le 19 mai 2025, à la guinguette de la Basse-Cour, au sud de Rennes, à La Prévalaye.

Ce projet s'inscrit dans le cadre du dispositif régional Prépa Avenir Territorial, avec le soutien notamment de la Région Bretagne et de Rennes métropole. Pensée comme une passerelle vers les métiers de la restauration et de l'alimentation durable, cette formation de sept semaines s'adresse à douze stagiaires éloignés de l'emploi, souvent issus de quartiers prioritaires.

Cette formation combine gestes professionnels, immersion en tiers-lieu, rencontres de terrain (visites de ferme, restaurants, transformateurs…) et mise en situation pratique, à La guinguette de La Basse-Cour et lors de la Fête des Diversités de Cleunay, pour laquelle un buffet pour 200 personnes sera préparé par les stagiaires et les bénévoles du Centre Social.

Le Greta-CFA Est-Bretagne, assure le pilotage pédagogique, les apprentissages techniques et l'accompagnement à l'insertion.

Extraits : Ouest France, Greta-CFA Est-Bretagne, mai 2025