Pour Annie Thomas (CFDT), la négociation interprofessionnelle doit déterminer les conditions de financement de la sécurisation des parcours

Article réservé aux abonnés

Par - Le 17 décembre 2008.

« Une impression de surplace ». Telle a été la réaction d’Annie Thomas (CFDT), à l’issue de la septième séance de négociation sur la formation professionnelle, mardi 16 décembre. « Nous avons traité rapidement les questions de financement sans que les cases manquantes soient remplies, a-t-elle regretté. Cette forme de surplace nous interroge sur la méthode de travail de la délégation patronale. Les arbitrages sont repoussés hors de la table de négociation. Les organisations patronales dégagent une forme d’optimisme et d’autopersuasion en décalage avec les enjeux de faisabilité de la négociation. » La CFDT n’est « pas favorable à la…

— Article réservé aux abonnés —