Olivier Gourlé (CFTC) met en garde contre la tentation de « siphonner les fonds de la formation au bénéfice de la politique de l'emploi »

Article réservé aux abonnés

Par - Le 21 octobre 2009.

« Tout ce qu’on a négocié dans le cadre de l’ANI n’est pas repris dans la loi du 14 octobre, mais l’essentiel est sauvegardé », résume Olivier Gourlé, secrétaire général adjoint de la CFTC, dans un entretien accordé au Quotidien de la formation mardi 20 octobre. Ce dernier sera « attentif aux décrets qui vont mettre en application la loi ». Une loi « encore plus compliquée à déchiffrer que l’ANI du 7 janvier », regrette-t-il. Surtout, « par le jeu des réécritures successives du texte, on tire la formation professionnelle vers l’emploi. Attention à ce que cela ne se…

— Article réservé aux abonnés —