Le secrétaire général de Renault livre sa vision du DIF
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Par David Garcia - Le 08 avril 2005.
Michel de Virville, secrétaire général du groupe Renault, a estimé jeudi 7 avril, lors d'une rencontre avec l'association des journalistes de l'information sociale, que si les entreprises n'investissaient pas suffisamment dans l'ingenierie de la formation, la mise en œuvre du DIF risquait de se réduire à un « dispositif administratif ». La marque au losange a été « une des tous premières entreprises françaises » à instaurer un droit individuel à la formation, a rappelé le numéro deux de Renault. Dès 1999, les partenaires sociaux du groupe inscrivaient le DIF dans le cadre de l'accord sur les 35 heures...trois ans…
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