Les universités, « trop marginales » sur le marché de la formation ?

Le Quotidien de la formation. Pourquoi avoir choisi le thème des transitions pour le colloque de cette année ? Franck Giuliani. L’objectif était de partir de cette notion de transitions. Avec le constat qu’aujourd’hui, lorsque l’on en prend la définition, nous sommes souvent sur du lent et graduel et que cela est généralement dépassé. Il faut peut-être davantage parler de révolutions. Qu’elle qu’en soit la forme (environnementale, numérique…) ce sont des phénomènes qui s’accélèrent grandement. Dès lors nous souhaitions nous demander comment les universités peuvent être actrices et collaborer [en réponse à ces phénomènes]. Par ailleurs la formation continue à l’université,…