Apprendre par la réciprocité, une locomotive à partager des compétences dans l'entreprise (UODC)

L'Université ouverte des compétences avait invité Claire Héber-Suffrin, co-fondatrice des réseaux d'échanges réciproques de savoirs, ce mardi 25 juin à Paris, afin d'analyser les vertus de l'apprentissage par la réciprocité. Il pourrait moderniser la politique de formation et renouveler la politique RH des entreprises...

Article réservé aux abonnés du Quotidien de la formation

Par - Le 27 juin 2019.

« Dans quelle mesure les entreprises ne pourraient-elles pas s’inspirer de l’apprentissage par la réciprocité ? » Telle était la problématique à laquelle Claire Héber-Suffrin, co-fondatrice des Réseaux d’échanges réciproques de savoirs (RERS), était invitée à s’exprimer lors d’une nouvelle édition de l’Université ouverte des compétences (UODC) à Paris. Échanges de savoirs et savoir-faire Créées à Orly, dans la banlieue sud de Paris, en 1971, par Claire Héber-Suffrin, au sein de la classe où elle était institutrice, et son mari, ces RERS sont des réseaux de personnes dont les membres s’échangent savoirs et savoir-faire. Réunis au sein de l’Association Foresco (Formations…

— Article réservé aux abonnés du Quotidien de la formation —