Pour les CIBC, le reste à charge fragilise le bilan de compétences

À 100 euros ou pire encore, 10 %, la perspective d'un reste à charge imposé aux bénéficiaires du CPF inquiète la fédération nationale des CIBC, qui redoute la fragilisation de l'accès au bilan de compétences. Philippe Cottet, président de la FNCIBC, nous dit pourquoi.

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Par - Le 09 avril 2024.

250 millions d’euros, c’est le montant des économies espérées par le Gouvernement avec la mise en œuvre d’un reste à charge CPF dont les modalités restent à préciser. Et pour les CIBC, prestataires historiques du bilan de compétences, c’est aussi, après la monétisation du CPF en 2019, une nouvelle fragilisation de l’accès au bilan qui s’annonce. Et même si la perspective de l’exonération de ticket modérateur pour les publics les plus précaires pourrait amortir le choc, le scénario n’enthousiasme guère le n° 1 du bilan. Explications en vidéo avec Philippe Cottet, président de la FNCIBC. https://youtu.be/uuscmu-74-s Fédération nationale des CIBC…

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