Le groupe Partouche a fait appel à Sigma-RH, créateur de solutions intégrées de gestion des processus RH, notamment pour uniformiser ses pratiques de formation. Par le biais d’un logiciel, l’entretien professionnel prend une dimension stratégique.

Un plan “massif” a été lancé à la mi-octobre par la secrétaire d’État chargée de la Solidarité, Valérie Létard. Il est destiné à former les personnels chargés d’accueillir les personnes âgées.

Les artisans et les salariés des métiers de services ( fleuristes, taxis, serrurier, ambulanciers, prothésistes dentaires, coiffeurs, fourreurs, etc. ) se forment davantage. C'est en tout cas ce qu'observe l'Opcams dans son dernier rapport d'activité, publié le 3 novembre.

Secteur en croissance continue, les services à la personne connaissent une forte exigence de professionnalisation. Un constat qui a conduit l’éditeur WoltersKluwer[[Entreprise néerlandaise, spécialiste de l’édition fiscale et juridique. Propriétaire, notamment, des éditions Lamy et du groupe Liaisons. http://www.wkf.fr ]] à lancer une collection spécifique.

Toujours détenu par l’État, le label des Ateliers de pédagogie personnalisée (APP) pourrait être confié à l’Association pour l’animation nationale et le développement de l’activité des APP (Apapp) d’ici au 1er janvier 2009.

Concepteur du master pro 2 RMDRH[[Responsable en management et développement des ressources humaines.]], le groupe IGS a signé le 6 novembre une convention de coproduction avec le Cned, pour proposer une version à distance de son dispositif de formation.

L’impact de la recherche de compétitivité et d’innovation voulue par la “stratégie de Lisbonne” était au cœur des débats de la conférence sur “La cohésion territoriale et l’avenir de la politique de cohésion” qui se tenait à Paris les 30 et 31 octobre.

En votant à la grande majorité le programme Erasmus Mundus II, le 21 octobre, les députés européens ont voulu envoyer un signe fort en faveur de la mobilité estudiantine.

Désignation des préfets comme “patrons” des dispositifs de reclassement, création d’un fonds de revitalisation abondé par l’État (50 millions d’euros) et les entreprises de plus de 1 000 salarié (100 millions d’euros), suppression éventuelle des “primes à la valise”... ces préconisations figurent dans le rapport du député Gérard Cherpion.